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Tavey (70) : Toc en stock
Depuis plus d'un an qu'elle avait monté son affaire, les choses tournaient plutôt bien pour cette jeune Haut-Saônoise : entre les bijoux, montres, accessoires et autres joujoux hi-tech qu'elle vendait en effet à temps perdu sur Internet, plusieurs milliers d'euros lui étaient déjà tombés dans les poches.
La fibre du commerce? Disons plutôt le filon de la contrefaçon, qui lui permettait de proposer à des prix avantageux (surtout pour elle) des imitations de produits de grandes marques, fabriquées à bas coût en Chine. De quoi notamment pousser au plus loin le souci du détail concernant ses répliques d'iPhone, ainsi conçues dans les mêmes conditions que les originaux !
Malgré cela, les premières plaintes pour arnaque commençaient déjà à tomber il y a 6 mois, donnant lieu à de longues investigations à l'échelle nationale qui auront donc finalement abouti jeudi dernier à l'interpellation de cette spécialiste en camelotes, par les gendarmes d'Héricourt.
Accusée de « vente de marchandises sous une marque contrefaite » et d' « importation de marchandises contrefaites à des fins commerciales » (avec peut-être un supplément « escroquerie » à venir selon les décisions du parquet de Vesoul), elle devrait être fixée prochainement sur la date de son jugement devant le tribunal correctionnel… sans pouvoir espérer liquider entre-temps ses invendus, saisis à son domicile pour être détruits.
(Photo d'illustration)
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La fibre du commerce? Disons plutôt le filon de la contrefaçon, qui lui permettait de proposer à des prix avantageux (surtout pour elle) des imitations de produits de grandes marques, fabriquées à bas coût en Chine. De quoi notamment pousser au plus loin le souci du détail concernant ses répliques d'iPhone, ainsi conçues dans les mêmes conditions que les originaux !
Malgré cela, les premières plaintes pour arnaque commençaient déjà à tomber il y a 6 mois, donnant lieu à de longues investigations à l'échelle nationale qui auront donc finalement abouti jeudi dernier à l'interpellation de cette spécialiste en camelotes, par les gendarmes d'Héricourt.
Accusée de « vente de marchandises sous une marque contrefaite » et d' « importation de marchandises contrefaites à des fins commerciales » (avec peut-être un supplément « escroquerie » à venir selon les décisions du parquet de Vesoul), elle devrait être fixée prochainement sur la date de son jugement devant le tribunal correctionnel… sans pouvoir espérer liquider entre-temps ses invendus, saisis à son domicile pour être détruits.
(Photo d'illustration)
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Publié le lundi 7 avril 2014 à 15h18