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Meurtre dans un bar de Besançon
Un homme de 62 ans est décédé samedi dans un bar de Besançon après avoir reçu un coup mortel d'arme blanche à la carotide.
Alertés samedi à 8h du matin par le gérant du bar "Le Saphir", situé rue de Dole, les secours ont découvert le corps de la victime gisant sur le sol de l'établissement. Le sexagénaire est décédé à 9h au centre hospitalier de Besançon.
Un couteau trouvé sur place pourrait être l'arme du crime, a indiqué le parquet qui a ordonné une autopsie.
Le gérant du bar, âgé de 46 ans, a été retrouvé sur place dans un état d'ébriété très important, avec des traces de sang sur ses vêtements. Seul témoin, il a donné des explications confuses avant d'être placé en cellule de dégrisement. Entendu hier par les enquêteurs, il dit ne se souvenir de rien. Il devrait rapidement être placé en examen.
Cet homme a lancé "Le Saphir" l'été dernier. Son bar a rapidement acquis une mauvaise réputation, avec des visites de la police quasi hebdomadaires, souvent pour des bagarres sur fond d'alcool.
Le propriétaire lui-même, connu pour son caractère coléreux, était peu apprécié dans le quartier.
La victime quant à elle était un amateur de poker d'origine croate, aimant la vie nocturne. Ce sexagénaire avait la réputation d'être un homme "paisible" et "gentil".
R. Hingray
Alertés samedi à 8h du matin par le gérant du bar "Le Saphir", situé rue de Dole, les secours ont découvert le corps de la victime gisant sur le sol de l'établissement. Le sexagénaire est décédé à 9h au centre hospitalier de Besançon.
Un couteau trouvé sur place pourrait être l'arme du crime, a indiqué le parquet qui a ordonné une autopsie.
Le gérant du bar, âgé de 46 ans, a été retrouvé sur place dans un état d'ébriété très important, avec des traces de sang sur ses vêtements. Seul témoin, il a donné des explications confuses avant d'être placé en cellule de dégrisement. Entendu hier par les enquêteurs, il dit ne se souvenir de rien. Il devrait rapidement être placé en examen.
Cet homme a lancé "Le Saphir" l'été dernier. Son bar a rapidement acquis une mauvaise réputation, avec des visites de la police quasi hebdomadaires, souvent pour des bagarres sur fond d'alcool.
Le propriétaire lui-même, connu pour son caractère coléreux, était peu apprécié dans le quartier.
La victime quant à elle était un amateur de poker d'origine croate, aimant la vie nocturne. Ce sexagénaire avait la réputation d'être un homme "paisible" et "gentil".
R. Hingray
Publié le lundi 16 mai 2011 à 14h17
