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La Vèze (25) : Dans un arbre perchée
Sport extrême par excellence, le saut en parachute confère des sensations certes intenses, mais dont la relative brièveté pousse certains à vouloir retarder autant que possible le frustrant retour sur le plancher des vaches.
Si d'ordinaire la logique veut alors que l'on joue sur la distance de chute pour faire durer le plaisir, tel n'a pas été hier après-midi le "choix" opéré par une élève du Centre école de parachutisme de Besançon qui, pour se soustraire à un atterrissage en règle sur l'aérodrome de La Vèze, aura non loin de là suspendu son vol dans un arbre de 12 mètres de haut et ainsi prolongé son défi lancé à la gravité durant quelques longues minutes supplémentaires.
Peu disposée à descendre d'elle-même, la jeune femme aura en effet nécessité le déploiement des sapeurs-pompiers du GRIMP et l'intervention d'un l'hélicoptère de la Sécurité Civile pour être secourue. Un supplément de sensations fortes qui n'aura sans doute pas été pour déplaire à l'intéressée, finalement décrochée indemne de son perchoir.
C.R
Si d'ordinaire la logique veut alors que l'on joue sur la distance de chute pour faire durer le plaisir, tel n'a pas été hier après-midi le "choix" opéré par une élève du Centre école de parachutisme de Besançon qui, pour se soustraire à un atterrissage en règle sur l'aérodrome de La Vèze, aura non loin de là suspendu son vol dans un arbre de 12 mètres de haut et ainsi prolongé son défi lancé à la gravité durant quelques longues minutes supplémentaires.
Peu disposée à descendre d'elle-même, la jeune femme aura en effet nécessité le déploiement des sapeurs-pompiers du GRIMP et l'intervention d'un l'hélicoptère de la Sécurité Civile pour être secourue. Un supplément de sensations fortes qui n'aura sans doute pas été pour déplaire à l'intéressée, finalement décrochée indemne de son perchoir.
C.R
Publié le lundi 1 juillet 2013 à 11h47
