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Haute-Saône : Coup vache
On croyait depuis longtemps avoir fait le tour de la bêtise humaine. Eh bien nous nous étions bien mis le doigt dans l'œil jusqu'au coude ! Car mardi soir en Haute-Saône, dans le secteur de Marnay, de sombres individus ont apporté une nouvelle pierre à ce déplorable édifice.
Pour ce faire, ils auront commencé par voler sans grande discrétion vers 20h30 deux véhicules à Pesmes et Avrigney-Virey. Ce qui aura eu pour conséquence directe de déclencher une course-poursuite avec les gendarmes. Finalement lâchés après une quinzaine de kilomètres.
Une performance que les fuyards auront alors fêtée d'une bien curieuse manière… en fonçant (a priori délibérément) avec l'une de leurs voitures sur un troupeau de vaches, occupé à paître tranquillement dans un champ de Motey-Besuche.
Dans le lot, ils en percuteront trois. Et ne se contenteront pas de leur avoir "seulement" brisé les pattes…
Attiré peu après 22h par une odeur de brûlé (celle de la voiture-bélier incendiée par les malfrats repartis à bord de l'autre véhicule), le propriétaire des bêtes blessées découvrait en effet qu'on les avait en outre mutilées au niveau des cuisses, de l'encolure, de la tête et du museau avec un objet tranchant. Une sauvagerie dont le seul remède aux souffrances aura été l'euthanasie.
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Pour ce faire, ils auront commencé par voler sans grande discrétion vers 20h30 deux véhicules à Pesmes et Avrigney-Virey. Ce qui aura eu pour conséquence directe de déclencher une course-poursuite avec les gendarmes. Finalement lâchés après une quinzaine de kilomètres.
Une performance que les fuyards auront alors fêtée d'une bien curieuse manière… en fonçant (a priori délibérément) avec l'une de leurs voitures sur un troupeau de vaches, occupé à paître tranquillement dans un champ de Motey-Besuche.
Dans le lot, ils en percuteront trois. Et ne se contenteront pas de leur avoir "seulement" brisé les pattes…
Attiré peu après 22h par une odeur de brûlé (celle de la voiture-bélier incendiée par les malfrats repartis à bord de l'autre véhicule), le propriétaire des bêtes blessées découvrait en effet qu'on les avait en outre mutilées au niveau des cuisses, de l'encolure, de la tête et du museau avec un objet tranchant. Une sauvagerie dont le seul remède aux souffrances aura été l'euthanasie.
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Publié le jeudi 13 août 2015 à 09h42